PERSONNAGES
Artistes, scientifiques, philosophes, historiens, hommes d'état & orateurs

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AGESILAS II (444 - 360)
Roi de Sparte. En 401-400, il se bat brillamment contre le satrape Perse Tissapherne,qui voulait établir sa domination sur l'Ionie. Il inflige ensuite une défaite à Thèbes et Athènes coalisés en 394, dans la plaine de Coronée, en Béotie. Pour favoriser l'hégémonie de Sparte, il soutient en Grèce les régimes oligarchiques, mais ne peut contrecarrer l'hégémonie thébaine qui sous le commandement d'Epaminondas, remporte la victoire à Leuctres en 371.

AGIDES
Dynastie Sparte fondée par Agis Ier au VIème siècle.

AGIS 1er (245 - 241)
Roi de Sparte. Au moment où il prit le pouvoir, les lois de Lycurgue étaient pratiquement tombées dans l'oubli. Il tenta de les restaurer et de rendre à Sparte ce qui avait fait sa grandeur, mais c'était sans compter sur son avidité, qui eut raison de lui.

AGORACRITE DE PAROS (Vème siècle)
Sculpteur grec du Vème siècle, élève de Phidias, qui exécuta la statue colossale de la "Némésis de Rhamnonte" (vers 420 av. J.-C.).

ALCAMENE (Vème siècle)
Sculpteur élève de Phidias, parfois considéré comme le plus grand après son maître. Plusieurs de ses oeuvres étaient à Athènes, comme des statues chryséléphantines représentant Héphaïstos, Dionysos, Arès...

ALCIBIADE (450 - 404)
Né a Athènes, pupille de Périclès et ami de Socrate, il figure dans " le Banquet " de Platon. Alcibiade était d'une grande beauté et d'une intelligence peu commune, mais gâchait ses dons par une vanité démesurée et un goût du luxe qui choquait souvent. Il a laissé le souvenir d'un aventurier cupide et apte à la trahison mais pourtant, les Athéniens ne pouvaient s'empêcher d'avoir quelques faiblesses pour lui, Aristophane ayant même été jusqu'à dire :: «Les Athéniens le haïssent mais ne peuvent se passer de lui
Nommé stratège en 420, la guerre contre Sparte apporte la preuve de son génie militaire, mais elle révèle en même temps sa politique opportuniste, qui sera fatale à la cité athénienne. S'il est de bon conseil, il se montre sans scrupule lorsque son intérêt le pousse à trahir : par exemple, il propose de conclure la paix avec les Spartiates, mais, dès que Sparte choisit Nicias pour négocier le traité, il se rétracte et soutient fermement les partisans de la poursuite de la guerre.
Accusé d'avoir parodié les mystères d'Eleusis et mutilé les bustes d'Hermès placés à l'entrée des maisons et des sanctuaires, il s'enfuit dans le Péloponnèse et est condamné à mort par contumace. D'abord exilé à Sparte, (mais il s'accomode mal de la mentalité austère des lacédémoniens), il se réfugie auprès du satrape perse Tissapherne et s'adapte mieux au milieu oriental d'où il prépare maintes intrigues visant à reprendre le pouvoir. La reconquête de l'Hellespont et de la mer Noire lui assure un retour glorieux en 408, mais ne peut effacer la méfiance suscitée par son passé obscur. Il se retire en Thrace en 406 et sur l'instigation des 30, il est assassiné en 404.

ALCMEON DE CROTONE(520 - 450)
Elève de Pythagore, il écrit, comme la plupart des philosophes de l'époque, un "traité sur la nature" avant de se consacrer à la médecine et plus spécialement aux organes des sens et leur relation avec le cerveau. C'est ainsi qu'il est le premier à attribuer le siège de la pensée au cerveau et non plus au cœur comme c'était d'usage, car dit-il, "le principe directeur de l'homme réside dans son cerveau car les yeux lui sont reliés par les nerfs optiques". Egalement initiateur de la dissection, il découvre l'existence de la trompe d'Eustache, étudie l'embryon et pose le principe de l'"isonomie", mélange équilibré de puissances contraires, telles l'humide et le sec, le froid et le chaud, l'amer et le doux, la maladie étant engendrée par la domination d'un de ces couples qu'il y ait ou non influence de causes externes. Hippocrate reprendra plus tard cette théorie des 4 humeurs dont Alcméon avait posé les bases.

ALCMEONIDES
Grande famille athénienne dont les membres jouèrent un rôle très important dans l'histoire d'Athènes à la fin du VIIeme siècle et au VIeme. Clisthène, Cimon, Périclès et Alcibiade sont issus de cette dynastie.
Le premier Alcméonide connu est Mégaclès, Archonte au moment où Cylon tente de s'emparer de l'Acropole grâce à l'aide du tyran de Mégare. Mégaclès appelle alors le peuple aux armes, qui très attaché à sa liberté, fait échouer la tentative.
Cylon, réfugié dans un temple, lieu considéré comme sacré par les grecs, y sera pourtant mis à mort par les soldats de Mégaclès, ce qui entraînera la condamnation de la famille des Alcméonides pour sacrilège, les contraignant à l'exil.
Son fils, Alcméon reviendra néanmoins à Athènes et se battra à la tête de l'armée athénienne au cours de la première guerre sacrée. Le fils d'Alcméon, qui s'appelait Mégaclès comme son grand-père fut l'adversaire de Pisistrate.

ALEXANDRE LE GRAND (355 - 323)
Roi de Macédoine, Alexandre III le Grand, qui s'est rendu maître de la Grèce, l'Égypte et l'Asie, est l'un des personnages les plus illustres de l'histoire universelle dont les exploits ont été évoqués par la Bible et le Coran. Sa politique économique est une politique de conquêtes. Dans chaque région conquise, Alexandre prend soin de recenser les richesses et d'explorer les voies maritimes, fluviales et terrestres. Ainsi, en Égypte, en 331, il organise une mission scientifique chargée d'étudier la crue du Nil. En Inde, il fait explorer le delta de l'Indus, étudier la flore, la faune, le sous-sol et même dresser des cartes.
Valeureux guerrier, il gagne sa première bataille à 18 ans, contre les grecs à Chéronée, et enchaînera ensuite victoire sur victoire (Issos, Gaugamèles, Hydaspes...) pacifiant les contrées barbares et réprimant les révoltes grecques.
Peu à peu, un gouvernement commun à la Grèce, aux Macédoniens et aux Perses se met en place mais non sans opposition au sein même de son état-major. Il fait exécuter son plus fidèle général sur de simples soupçons, tue son meilleur ami dans un accès de colère et n'hésite pas à se faire déifier à la mode orientale sous les yeux horrifés de ses compagnons.
Pour en finir avec les réticences grecques, il tente de fusionner les peuples entre eux en faisant en sorte que des milliers de grecs épousent des milliers de filles perses. Lui-même, en 327, épouse par amour une princesse persane puis la propre fille de Darius III.
Sa mort prématurée, en juin 323, met un terme à ses projets de conquête et ses successeurs, les diadoques, commenceront alors une lutte acharnée pour se partager l'immense territoire de l'empire, et finiront par créer de nouvelles dynasties, comme celles des Lagides ou des Séleucides.

AMASIS (VIe s. av. J.-C.).
Potier athénien qui exerça entre 555 et 525 et fut l'un des meilleurs spécialistes des vases à figures noires du Céramique de l'époque. Après un apprentissage à Athènes, la technique d'Amasis présente des caractéristiques particulières qui seront reprises plus tard dans la céramique à figures noires. Il oeuvra surtout dans la petite céramique, petites amphores, oenochoés, lécythes, coupes, dont les dimensions se prêtent plus facilement à la miniature, et fut suivi par de nombreux disciples.

ANAXAGORE DE CLAZOMENES (500 - 428)
Astronome né en Ionie, il s'installe à Athènes en 480 où il devient l'ami de Périclès. Pour lui la matière est composée d'une infinité de corps élémentaires qui s'unissent ou se séparent. Il déclare que le soleil est une pierre incandescente et la lune une simple pierre. Ces idées, mal vues en Grèce, lui valent une accusation d'impiété.
C'est également lui, qui dans ses travaux philosophiques, introduit la notion du "Noûs" (esprit ou raison en grec), ses prédécesseurs n'ayant fait que considérer les 4 éléments, terre, air, eau, feu comme réalité ultime.

ANAXIMANDRE DE MILET (610-546)
Philosophe, physicien et astronome grec, disciple de Thalès né à Milet, il soutient que l'infini ou l'indéfini (apeiron) est le principe de l'univers. Il construit la première sphère céleste et dessine la première carte de géographie. Anaximandre a été le premier philosophe à concevoir la diversité des phénomènes comme effet d'une loi unique, immanente à la nature, exprimant de façon très générale la nécessité du devenir. On lui attribue de nombreuses inventions, notamment celle du gnomon.

ANDOCIDE (440 - 391)
Orateur et homme politique né à Athènes. Impliqué dans la profanation des mystères d'Eleusis et la mutilation des Hermès en même temps qu'Alcibiade ce fut pour lui l'occasion d'exercer ses talents d'orateur et sa plaidoirie lui valut probablement la vie sauve. Exilé à Chypre de 415 à 403 il écrivit au cours de cette période plusieurs plaidoyers destinés à obtenir sa grâce et rentrer dans sa patrie, mais il ne convainquit pas les juges et dut attendre l'amnistie de 403 qui suivit la chute des 30, pour se réinstaller à Athènes.

ANDOKIDES (seconde moitié du VIe s. av. J.-C.).
Potier mal connu à qui on attribue, vers 530, l'invention du style vase à figures rouges qui se substitua au style vase à figures noires, bien qu'il n'ait peut-être que perfectionné ce nouveau procédé, son principal avantage étant de pouvoir donner plus de netteté aux figures. A la charnière de la tradition à figure noire, il a utilisé les 2 techniques et se révèle comme l'un des meilleurs représentant du style mixte. On cite par exemple, un vase portant le même motif des 2 côtés, mais dont la couleur est inversée pour lui donner un caractère différent.

ANTENOR
Sculpteur athénien auteur d'un bronze représentant les "Tyrannoctones", Harmodios et Aristogiton, assassins du tyran Hipparque en 514 et promus héros de la démocratie naissance. Cette sculpture fut emportée par Xerxès lorsqu'il occupa Athènes en 480, et fut ensuite remplacé par un autre groupe réalisé par Critios. Alexandre, lors de sa conquête de la Perse vers 330, renvoya le bronze initial à Athènes, où il figura dorévavant sur l'agora avec la seconde version.

ANTIPHON (480 - 411)
Maître de rhétorique et logographe à Athènes, il rêve avec d'autres d'une oligarchie radicale avec comme condition la paix avec Sparte. Lors de la révolution des 400 il s'allie à Sparte. Accusé de trahison il est condamné à mort en 411. Il écrivit 3 discours juridiques dont Sur le meurtre d'Hérode et La Tétralogie.

APELLE (début IIIème siècle)
Peintre d'Alexandre le grand, le plus renommé de son temps, et ses toiles s'achetaient fort cher. Après des recherches, il n'utilisa plus que 4 couleurs : blanc, rouge, jaune et noir et après avoir achevé ses tableaux il les recouvrait d'une sorte de vernis qui donnait plus de reflet aux teintes et les protégeait de la poussière.

APOLLODORE dit le Skiagraphe
Peintre athénien de la la fin du Vème siècle surnommé le "peintre des ombres" qui délaissa la fresque pour la peinture sur bois. Il introduisit la manière de tourner les corps de manière naturelle, car jusqu'alors on représentait les yeux ou le buste toujours de face. Il inventa également l'art de dégrader les tons et de noyer les contours, et utilisa les jeux d'ombre d'où son surnom de Skiagraphe. Ses tableaux tranchent nettement sur ceux de son époque.

APOLLODORE DE DAMAS (60 apr. J.-C. - ? 129 apr. J.-C.).
Architecte et ingénieur grec d'origine syrienne. Il fut appelé par l'empereur Trajan pour édifier des monuments à sa gloire. Il construisit le pont des Portes de Fer sur le Danube (104) et de nombreux bâtiments publics à Rome, dont son œuvre maîtresse, le forum de Trajan (107-113). Pour trouver la place nécessaire à cet ensemble, il n'hésita pas à tailler profondément dans la colline romaine, retenant la masse de terre par des bâtiments en hémicycles. À la mort de l'empereur, il dut s'exiler et termina sa vie en écrivant des ouvrages techniques.

APOLLONIOS D'ATHENES (Ier s. av. J.-C.)
Sculpteur grec, auteur du Torse du Belvédère et du Pugiliste. Son style vigoureux mêle les dernières tendances de l'hellénisme à des éléments classiques

APOLLONIOS DE PERGE (260 -180)
Géomètre, astronome et mathématicien grec de l'école d'Alexandrie. Dans son traité des Sections coniques, composé de 8 livres, il donne un exposé systématique et rigoureux des propriétés de l'ellipse, de la parabole et de l'hyperbole (noms qu'il leur attribua). Il tenta aussi d'expliquer le mouvement rétrograde apparent des planètes par usage d'épicycles. Avec Euclide et Archimède, il est l'une des grandes figures des mathématiques antiques, et a marqué la géométrie pendant près de 20 siècles.

APPIEN D'ALEXANDRIE (IIème siècle)
Historien formé en Egypte, avocat à Rome, procurateur imperial vers 150 apr J.C., et auteur d'une histoire romaine originale en 24 livres dont il ne reste que 7. Le contenu est traité peuple par peuple sans référence chronologique. Sa documentation était extrêmement variée, surtout tirée d'historiens latins aujourd'hui perdus.

ARCHELAOS dit le CAPPADOCIEN (? - 80 )
Général grec, officier de Mithridate, il souleva la Grèce contre les Romains. Il fut battu par Sulla en 86 et en 85, et se rallia à Rome (84).

ARCHELAOS DE PRIENE (IIe s. av. J.-C.).
Sculpteur grec, auteur du bas-relief en marbre dit l'Apothéose d'Homère

ARCHIMEDE (287 - 212)
Mathématicien et physicien grec né à Syracuse, élève d'Euclide. Lorsque Syracuse fut assiégée par la flotte romaine, en 209, il participa activement à la défense de la cité en la faisant bénéficier de ses inventions. Outre la réalisation de plusieurs machines de jet, on lui attribue l'invention d'un moyen d'incendier les navires ennemis en concentrant sur eux les rayons du soleil grâce à un jeu de miroirs. Il résolut de nombreux problèmes de mesure, c'est également à lui que l'on doit le chiffre "Pi" et en tant qu'ingénieur, on lui doit l'invention de la vis sans fin, de la poulie qui démultiplient les effets d'un effort de traction, la roue dentée, la théorie du levier. C'est en prenant son bain, qu'il aurait trouvé le principe qui porte son nom et qui décrit la perte de poids d'un corps plongé dans l'eau. De ses ouvrages, il nous reste : De la mesure du cercle, des conoïdes et des spiroïdes, de l'équilibre des plans, de la quadrature de la parabole, des corps flottants, l'Arénaire sur l'astronomie.

ARCHYTAS DE TARENTE (430 - 350)
Philosophe, mathématicien et général grec qui appliqua la philosophie pythagoricienne à l'organisation sociale de sa ville natale : il exerça plusieurs fois la charge de stratège et s'efforça de régler les conflits entre les possédants et les classes pauvres sur la base de prestations mutuelles. Principal membre de l'école géométrique de Tarente, on lui attribue de nombreuses inventions, comme la vis et la poulie, et une colombe en bois capable de voler.

ARISTAGORAS ( 497 - ?).
Tyran de Milet. Sa révolte contre Darios Ier déclencha la première guerre médique. Vaincu, il périt en Thrace

ARISTARQUE DE SAMOS (310 - 230)
Astronome grec, paraît avoir été le premier à formuler avec rigueur la théorie de la révolution de la terre autour du soleil. Sa théorie héliocentrique fut dédaignée par ses successeurs (Hipparque et Ptolémée, entre autres), car des mesures assez précises prouvaient que des planètes, telles que Mars, ne se meuvent pas sur un cercle ayant le Soleil pour centre. Il a écrit sur les dimensions et les distances du soleil et de la lune, mais faute d'instruments de visée suffisants, il ne put que poser le problème de la parallaxe ou changement d'angle de la terre sur son orbite par rapport aux étoiles.

ARISTIDE (540 - 458)
Général et homme politique athénien d'origine noble surnommé " le Juste " en raison de son équité. Stratège à Marathon, archonte en 489, il est ostracisé en 483 à la suite de démêlés avec Thémistocle. Rappelé au moment de la seconde invasion Perse, il participe aux batailles de Salamine et de Platée. Il crée la Ligue de Délos en 477, et devient l'âme de la lutte contre les perses. Il meurt en 458.

ARISTIDE (milieu IVème siècle)
Peintre thébain contemporain d'Alexandre qui fut le premier à peindre l'homme en représentant ses troubles de l'âme et en y ajoutant quelque chose de pathétique, voire morbide. On cite par exemple, un tableau représentant une mère mourante dont l'enfant essaie d'atteindre le sein qui émut tellement Alexandre le Grand qu'il la fit transporter dans son palais de Pella.

ARISTOTE (384 - 322)
Philosophe né en Chalcidique, élevé à Pella, il fut l'élève de Platon pendant 20 ans. Philippe de Macédoine lui confit l'éducation d'Alexandre. Après l'avènement de celui-ci il revient à Athènes et ouvre une école : le lycée. A la mort d'Alexandre on l'accuse d'impiété. Il se retire et meurt à Chalcis. Il écrivit 400 traités dont la partie la plus intéressante a disparu. Restent ses écrits ésotériques : d'une écriture concise et riche en formules, ils représentent sans doute presque exclusivement l'enseignement dit "ésotérique", interne à l'école péripatéticienne, et non pas l'"exotérique", destiné à un plus large public, que dispensait oralement Aristote: d'où la difficulté, la densité et la technicité de l'expression. Grand savant, grand philosophe très différent de son maître, Platon. Il a ordonné et classifié la science antique.

ARISTOXENE de TARENTE (355 - ?)
Elève d'Aristote, philosophe grec et théoricien de la musique, il écrivit son histoire, son enseignement, ses instruments, ses principes, des ouvrages qui eurent une influence considérable même s'il est surtout connu pour deux ouvrages (Eléments harmoniques et Sur le rythme) qui sont les plus anciens traités de musique de la Grèce antique. Il s'interessa aussi à la valeur éthique et pédagogique de la musique.

ASCLEPIADE (124 - 40)
Médecin grec originaire de Bithynie. Il introduisit les enseignements de la médecine grecque à Rome. Adversaire d'Hippocrate, il professait une doctrine dérivée des théories philosophiques de Démocrite. Il fut le premier, à s'intéresser aux traitement des maladies mentales.

ASPASIE (Ve s. av. J.-C.)
Grecque originaire de Milet, célèbre pour sa beauté et son intelligence. Elle fut la maîtresse et la conseillère de Périclès à qui elle donna un fils, également nommé Périclès.